
Quand les « flammistes » se penchent sur la Seconde Guerre mondiale, cela donne une collection doublement intéressante. Intérêt philatélique, d’abord, car la plupart des flammes étaient interdites en France pendant les années d’occupation. D’où quelques belles raretés. Intérêt historique ensuite, car toute une époque défile ainsi sous nos yeux. De Daguin en marques mécaniques : voici